Benjamin Franklin citations et biographie



Benjamin Franklin

 






  • Le bonheur humain n'est pas tant le produit des grands coups de bonne fortune qui arrivent rarement, que celui des petits avantages qui ont lieu tous les jours.
    [Benjamin Franklin - Bonheur]
  • Une grande beauté, une force formidable, de grandes richesses ne sont pas vraiment d'un grand intérêt ; un coeur juste surpasse tout cela.
    [Benjamin Franklin - Bonheur]
  • Un sac vide tient difficilement debout.
    [Benjamin Franklin - Conscience]
  • A vingt ans, la volonté est reine ; à trente, c'est l'esprit ; à quarante, le jugement.
    [Benjamin Franklin - Conscience]
  • La paresse chemine si lentement que la pauvreté la rattrape.
    [Benjamin Franklin - Conscience]
  • Le bon sens, tout le monde en a besoin, peu l'ont, et chacun croit l'avoir.
    [Benjamin Franklin - Conscience]
  • Ayez vos yeux bien ouverts avant de vous marier, et mi-clos quand vous serez mariés.
    [Benjamin Franklin - Conscience]
  • Il est plus facile de résister au premier de ses désirs qu'à tous ceux qui le suivent.
    [Benjamin Franklin - Conscience]
  • L'oisiveté est comme la rouille ; elle use plus que le travail.
    [Benjamin Franklin - Conscience]
  • Quand on a bonne conscience, c'est Noël en permanence.
    [Benjamin Franklin - Conscience]
  • L'humanité se divise en trois catégories : ceux qui ne peuvent pas bouger, ceux qui peuvent bouger, et ceux qui bougent.
    [Benjamin Franklin - Conscience]
  • Celui qui vit d'espérance court le risque de mourir de faim.
    [Benjamin Franklin - Conscience]
  • Si l'homme réalisait la moitié de ses désirs, il doublerait ses peines.
    [Benjamin Franklin - Conscience]
  • Il y a bien des manières de ne pas réussir, mais la plus sûre est de ne jamais prendre de risques.
    [Benjamin Franklin - Conscience]
  • Ceux qui sont prêts à sacrifier une liberté essentielle pour acheter une sûreté passagère, ne méritent ni l'une ni l'autre.
    [Benjamin Franklin - Liberté]
  • Il n'y a jamais eu de bonne guerre ni de mauvaise paix.
    [Benjamin Franklin - Paix]
  • Il y a deux passions qui ont toujours marqué les actions humaines : l'amour du pouvoir et l'amour de l'argent.
    [Benjamin Franklin - Passion]
  • Les lois trop douces ne sont pas suivies, les lois trop sévères ne sont pas appliquées.
    [Benjamin Franklin - Raison]
  • Ne remettez pas au lendemain ce que vous pouvez faire le jour même.
    [Benjamin Franklin - Sagesse]
  • La paresse chemine si lentement que la pauvreté la rattrape.
    [Benjamin Franklin - Sagesse]
  • Si vous achetez ce qui est superflu, vous vendrez bientôt ce qui est nécessaire.
    [Benjamin Franklin - Sagesse]
  • On n'est jamais trop âgé pour s'instruire.
    [Benjamin Franklin - Sagesse]
  • Cherche en les autres pour leurs vertus, en toi pour les vices.
    [Benjamin Franklin - Sagesse]
  • On n'est jamais trop âgé pour s'instruire.
    [Benjamin Franklin - Sagesse]
  • Le manque de soin fait plus de mal que le manque de science.
    [Benjamin Franklin - Sciences]
  • Le temps, c'est de l'argent.
    [Benjamin Franklin - Temps]
  • Si j'avais le temps, je ne verrais aucune objection à recommencer ma vie depuis le début. Mais je demanderais à bénéficier du même privilège que les auteurs, qui corrigent dans la deuxième édition de leur ouvrage les erreurs de la première.
    [Benjamin Franklin - Temps]
  • Un laboureur debout est plus grand qu'un gentilhomme à genoux.
    [Benjamin Franklin - Travail]
  • La vraie tragédie de la vie, c'est qu'on devient vieux trop tôt et sage trop tard.
    [Benjamin Franklin - Vie]
  • Aimes-tu la vie ? Alors ne gaspille pas ton temps, car il est l'essence de la vie.
    [Benjamin Franklin - Vie]
  • Aimes-tu la vie ? Alors ne gaspille pas ton temps, car il est l'essence de la vie.
    [Benjamin Franklin - Vi]
  • La vraie tragédie de la vie, c'est qu'on devient vieux trop tôt et sage trop tard.



    biographie Benjamin Franklin 

    Écrivain, scientifique et homme politique américain du XVIIIe siècle, Benjamin Franklin reste l’un des personnages les plus populaires de l’histoire des Etats-Unis. Humaniste à l’allure sympathique et aux indéniables qualités diplomatiques, il est parvenu à conquérir nombre d’intellectuels britanniques, américains et français. Ses activités politiques portées sur le social ont sans conteste joué un rôle décisif dans la naissance des États-Unis d’Amériques. 

    L’imprimerie et l’écriture


    Benjamin Franklin voit le jour le 17 janvier 1706, au sein d’une famille nombreuse, modeste et puritaine. À l’aube de l’adolescence, il travaille en tant qu’ouvrier imprimeur et passe son temps libre à parfaire ses connaissances dans divers domaines. Autodidacte et curieux, il s’intéresse en effet à l’écriture et copie de nombreux textes d’Addison pour améliorer son style littéraire

    En 1721, il rédige ses premiers articles pour le New England Courant, journal tenu par son frère, James. Travailleur et déterminé, il quitte Boston pour New York, mais ne trouve pas d’emploi. Il se rend finalement à Philadelphie et reprend, en 1729, la Gazette de Pennsylvanie (Pennsylvania Gazette), un journal colonial à grand succès. L’année suivante, il fonde sa propre imprimerie

    Humaniste et franc-maçon, il estime que l’éducation et la culture doivent être accessibles à tous. Aussi crée-t-il des sociétés littéraires, des clubs de discussions tels que la "Junte", ainsi que la première bibliothèque à abonnement. Il publie également des almanachs instructifs commel’Almanach du pauvre Richard (Poor Richard's Almanack). 

    Le scientifique


    Ses activités ne se limitent toutefois pas aux travaux de la plume. En effet, il se passionne également pour les sciences et étudie notamment l’électricité. Après avoir mis sur pied un appareil de chauffage, dit "cheminée de Franklin", il se concentre sur les phénomènes orageux. Sa célèbre expérience du cerf-volant en pleine tempête lui permet de prouver que la foudre se compose bel et bien d’électricité (1752). C’est ainsi qu’il invente le paratonnerre

    L’homme politique


    Homme de lettres et de sciences, Benjamin Franklin participe également activement à la politique de Pennsylvanie. Il s’efforce notamment d’améliorer le service public pour toutes les classes sociales. Membre de l’Assemblée de Pennsylvanie depuis 1747, il promeut la construction de collèges et d’hôpitaux, met en place une milice de défense et joue un grand rôle dans la fondation de l’université de Pennsylvanie (1751). 

    Bientôt, ses activités s’étendent à la politique des colonies américaines en général. Devenu maître des Postes en Amérique britannique en 1753, il soumet au congrès d’Albanie un projet d’union des colonies dès l’année suivante. Mais ses idées sont loin de faire l’unanimité et il est encore trop tôt pour mettre en œuvre un tel dessein. 

    D’une popularité croissante, Benjamin Franklin est sollicité pour se rendre à Londres en 1757, afin de défendre les intérêts des colons pennsylvaniens. Il reste en Angleterre jusqu’en 1752 et noue des relations avec David Hume et Adam Smith. Ses qualités de diplomate sont appréciées de tous et font de lui l’ambassadeur de Pennsylvanie en Grande-Bretagne. 

    Franklin et la guerre d’indépendance


    Très vite, une autre mission l’oblige à rejoindre Londres. Il s’agit alors de négocier l’abrogation du Stamp Act, une loi de taxation imposée aux colonies par la Grande-Bretagne. Franklin y parvient finalement en 1765. Mais face au comportement du gouvernement britannique qui adopte de nouvelles lois d’imposition dans les années 1770, il s’éloigne de plus en plus de l’impérialisme et du mercantilisme. En 1773, il publie d’ailleurs les Règles pour faire d’un grand État un petit

    La guerre d’Indépendance éclate en 1775, année du retour de Franklin à Philadelphie. Autrefois favorable au roi britannique, il fait désormais partie des indépendantistes américains. Toujours très populaire, il est alors élu député de Pennsylvanie au Congrès continental et participe à la rédaction de la déclaration d’indépendance du 4 juillet 1776

    Au cœur du conflit entre les Britanniques et les "insurgents", Franklin doit assumer la lourde tâche d’obtenir le soutien français. Il se rend donc à Paris en 1776. Sa bonhomie et son esprit conquièrent rapidement les intellectuels de la capitale, parmi lesquels figurent Buffon, Robespierre et Mirabeau. C’est ainsi qu’il finit par obtenir du roi Louis XVI et de La Fayette l’envoi d’une armée et un soutien financier aux troupes américaines

    Les dernières années


    Benjamin Franklin rentre triomphalement en Amérique en 1785. Il est aussitôt élu président du Conseil exécutif de Pennsylvanie, puis participe à la rédaction de la Constitution fédérale américaine (1787). 

    Fatigué, Franklin se retire ensuite de la vie publique et passe ses dernières années à Philadelphie. Il s’éteint le 17 avril 1790, à 84 ans, laissant derrière lui de nombreux écrits, dont ses Mémoires, un formidable témoignage historique de l’Amérique.

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